lundi 7 décembre 2009

Le+homard+et+la+bud


Le homard et la bud
envoyé par Ouest. -
BMO apporte son soutien aux communautés autochtones et aux pêcheurs de homards de la région atlantique en appuyant la construction d'une nouvelle usine de transformation à Lennox Island

Les nouvelles installations permettront la création de 80 emplois

MONTRÉAL, le 7 déc. /CNW/ - BMO Groupe financier a de nouveau affirmé son soutien envers les communautés autochtones du Canada et les pêcheurs de homard de la région atlantique, en accordant un prêt à l'entreprise Minigoo Fisheries Inc., en vue de permettre l'ouverture de la toute première usine de transformation du homard au Canada atlantique détenue en propriété exclusive et dirigée par un groupe des Première nations. Les nouvelles installations devraient permettre de créer jusqu'à 80 emplois.

"Depuis plus d'une décennie, BMO s'efforce de créer des partenariats avec des entreprises autochtones, partout au Canada", a déclaré Stephen Fay, directeur national, Services bancaires aux autochtones, BMO Groupe financier. "En soutenant Minigoo Fisheries, nous nous associons à un projet fabuleux qui apportera de nombreux avantages à la communauté micmac de Lennox Island."

"BMO s'est engagée à soutenir ses clients, beau temps, mauvais temps", a pour sa part expliqué Steve Murphy, premier vice-président, direction de l'Atlantique, BMO Banque de Montréal. "La saison du homard vient tout juste de commencer, la semaine dernière, dans le sud de la Nouvelle-Écosse, mais le fait que nous participions à ce projet profitera à l'ensemble des pêcheurs de homard de la région, pêcheurs qui ont été frappés par le récent ralentissement observé sur le marché du homard."

M. Murphy a également invité tous les Canadiens à soutenir les pêcheurs de homard en consommant du homard durant la période des fêtes. "J'encourage tout le monde à rapporter davantage de homard à la maison, et à profiter de l'un des véritables trésors du Canada. Les pêcheurs de homard du Canada ont besoin de votre aide. Offrez-vous un festin, et venez du même coup en aide à vos compatriotes canadiens !"

Renseignements: Ronald Monet, Montréal, ronald.monet@bmo.com, (514) 877-1873; Internet: www.bmo.com/francais

samedi 5 décembre 2009

Atlantique

Pêche au homard
Des prix toujours trop bas

Mise à jour le vendredi 4 décembre 2009 à 14 h 14

Pêche au homard

Les quelque 5000 pêcheurs de homard qui ont pris la mer cette semaine en Nouvelle-Écosse pour la pêche d'hiver craignent une autre saison difficile. Ces pêcheurs, comme ceux des autres régions de l'Atlantique, ont peu d'espoir de gagner des profits.

Les prix offerts actuellement varient de 3,50 $ à 4 $ la livre. C'est une augmentation d'environ 50 ¢ la livre depuis l'an dernier, mais il est toujours très difficile pour les pêcheurs de rentabiliser leurs activités avec un tel prix. Ils estiment qu'ils ont besoin de 5 $ la livre pour gagner leur vie.

« Tu ne fais pas d'argent, tu restes là. Moi, je ne dois point mon bateau, mais il y a du monde qui doit 30 000 $, 40 000 $ de paiements par an. Eux, ils ont de la misère. Ça leur tient le bec dans l'eau. Ils ne peuvent pas s'en sortir », affirme Daniel Comeau, pêcheur de homard.

Daniel Comeau explique que les dépenses des pêcheurs, notamment le carburant, les appâts et le salaire de leur équipage, augmentent sans cesse pendant que le prix qu'on leur offre demeure faible.

Des pêcheurs de Meteghan, dans le sud-ouest de la province, ont transformé leurs piscines extérieures en viviers. Ils ont décidé d'y déposer leurs homards dans l'espoir que les prix offerts par les acheteurs augmentent dans les jours à venir.

Cédric Robichaud, un acheteur de homard, affirme que les pêcheurs ne font plus confiance aux acheteurs, mais il comprend leur inquiétude. « Cette année, tous les pêcheurs sont enragés et ils vont tenir tout leur homard dans leurs viviers, mais je pense qu'un pêcheur ne peut pas faire la pêche pour 3,25 $ [la livre]. Ça coûte trop, le diesel, les bateaux, les assurances, la main-d'oeuvre », explique-t-il.

La majorité du homard pêché en Nouvelle-Écosse est exportée aux États-Unis. La demande pour ce produit dans ce pays a diminué depuis l'an dernier en raison de la récession. Le prix du homard a donc baissé.

L'an dernier, le prix était sous la barre de 4 $ dollars la livre. Cela avait incité certains pêcheurs à vendre leurs prises directement aux consommateurs dans les villes de la région à l'approche des fêtes. Cet automne, 175 pêcheurs ont déjà acheté un permis pour vendre eux-mêmes leurs prises à Halifax.

La pêche au homard en Nouvelle-Écosse représente normalement des retombées économiques annuelles de 400 millions de dollars et 10 000 emplois.

jeudi 3 décembre 2009

Homard : vive compétition entre les Iles-de-la-Madeleine et la Gaspésie

La Presse Canadienne . les affaires.com . 10-11-2009

Tags : Agroalimentaire, Québec
chapeau

Les Madelinots craignent de perdre leur marché. Photo : Bloomberg

L'industrie de la pêche au homard des Iles-de-la-Madeleine est en train de se faire prendre de vitesse par celle de la Gaspésie, selon certains.

Les pêcheurs de la péninsule viennent de regrouper leur offre sous la bannière Les Arrivages de Gaspé. Et, sur la Côte-Nord, un groupe similaire, Purmer, est actif depuis 2004.

Le directeur exécutif de l'Association des pêcheurs propriétaires des Iles, Léonard Poirier, estime que les Madelinots doivent réagir, et vite, s'ils ne veulent pas perdre leur marché.

M. Poirier appelle à une mobilisation rapide des pêcheurs et des acheteurs de homard des Iles pour réorganiser la commercialisation de leur produit. Cette réorganisation implique aussi un partenariat avec les distributeurs et les grandes chaînes d'alimentation, d'après lui.

Léonard Poirier aurait néanmoins préféré une commercialisation commune du homard du Québec à cette concurrence entre les régions.
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lundi 30 novembre 2009

Homard d'hiver La pêche commence dans l'optimisme

Mise à jour le lundi 30 novembre 2009 à 16 h 45


Pêche au homard

Pêcheurs de homard.

La nouvelle saison de pêche au homard au large de la côte sud et sud-ouest de la Nouvelle-Écosse a commencé lundi sans trop de difficultés.

Des 1700 bateaux qui ont pris le large avant l'aube, seulement deux ont connu des ennuis mécaniques jusqu'à présent.

Près de 5000 pêcheurs jettent 500 000 casiers à l'eau lundi. Ils s'attendent à ce que le prix qu'on leur offrira pour leurs prises soit assez élevé pour couvrir leurs dépenses et gagner un peu de profits.

Selon les premières indications, les prix se situeraient vers 4 $ la livre, soit 50 ¢ de plus que l'an dernier.

« On [nous a] dit vendredi qu'on n'aurait probablement rien sous 4 $. Ça fait que ce n'est pas gros, mais on est vraiment contents de ça: 4 $, c'est mieux que 3,25 $. Ça fait du bon sens. On est vraiment encouragé un petit peu plus que l'an dernier », explique le représentant de l'Union des pêcheurs des Maritimes, Hubert Saulnier.

L'an dernier, certains pêcheurs, exaspérés par les prix très bas offerts par les grossistes, s'étaient résolus à vendre leurs prises eux-mêmes directement aux consommateurs. Ils estimaient qu'ils avaient besoin de 5 $ la livre pour gagner leur vie.

Les dépenses des pêcheurs, notamment le carburant et les appâts, augmentent sans cesse pendant que le prix qu'on leur offre diminue. La majorité du homard pêché en Nouvelle-Écosse est exportée aux États-Unis. La demande pour ce produit dans ce pays a diminué depuis l'an dernier en raison de la récession. Le prix du homard a donc baissé.

La pêche au homard en Nouvelle-Écosse représente normalement des retombées économiques annuelles de 400 millions de dollars et 10 000 emplois. Les premières prises seront débarquées mardi ou mercredi.

vendredi 20 novembre 2009

Les ados (ne) sont (pas) sur Twitter (ni) Facebook, (ni) MySpace

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Agriculture biologique
Quand la mer nourrit les légumes

Mise à jour le lundi 16 novembre 2009 à 11 h 57
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Des producteurs maraîchers et des agriculteurs biologiques de la Gaspésie étudient la possibilité de se tourner vers l'utilisation de produits marins.
legumes-fruits

Ces producteurs cherchent une solution pour pallier le faible de nombre de fermes d'élevage d'animaux dans la région.

Se tourner vers la mer pourrait s'avérer une solution pratique et efficace, selon le président de l'Association des producteurs biologiques de la Gaspésie, Christian Côté. « Il y a des produits qui sont disponibles de plus en plus sur les marchés, mais ces produits coûtent cher. [...] On essaye de trouver des choses qui sont disponibles localement en Gaspésie », précise M. Côté. Les résidus de poisson et de crustacés fournissent de l'azote et du phosphore et peuvent carrément doubler le rendement des cultures.

Des projets de productions avec des résidus marins sont en cours au Bas-Saint-Laurent. Le président de la firme de consultants Terre-eau à Mont-Joli, Louis Drainville, explique que ces projets visent principalement la production de grains non traditionnels certifiés biologiques comme le lin, le chanvre, du sarrasin, de l'épeautre. « L'objectif est aussi d'avoir un centre de transformation des grains certifiés bios en Gaspésie », ajoute M. Drainville.

L'utilisation des résidus marins comme fertilisants n'est pas sans causer quelques inconvénients, notamment en ce qui a trait à l'odeur. Louis Drainville reconnaît que les producteurs devront travailler avec la population.

Quelque 45 000 tonnes de poissons et crustacé sont transformées dans les usines de l'Est du Québec qui rejettent annuellement 20 000 tonnes de résidus.

Les producteurs épandent aussi dans leurs champs des cendres de bois industrielles. L'an dernier, la moitié des 300 000 tonnes des cendres de bois industrielles produites au Québec ont été utilisées comme par les agriculteurs.

jeudi 12 novembre 2009

Présentation du concept de blogue

12 novembre 2009

Bonjour a tous les amateurs de fruits de mers de partout dans le monde, c'est avec un grand plaisir que j'entreprends aujourd'hui mon premier blogue sur le net, sachez que je suis un restaurateur passionné depuis plus de 20 ans dont les 10 dernières années a la barre du restaurant Capitaine Homard de Sainte-Flavie, cette année était le 41è anniversaire du restaurant qui est situé aux portes d'entrée de la Gaspésie au Québec.J'espère pouvoir vous rendre la lecture agréable et soyez assuré de tout mon dévouement envers ce blogue. Nous traiterons principalement de la vie du homard dans son ensemble en long et en large ainsi que de recettes,photos vidéos,trucs et astuces.Merci et a la prochaine, En passant voici un document que je vient tout juste de recevoir et que je veut absolument partager avec vous car j'en suis très fière.

Merveilleuse Gaspésie, 3e destination au monde !
Sainte-Flavie, le 9 novembre 2009 – Dans son édition de novembre – décembre, la Société National
Geographic nous apprenait qu’un comité de 437 experts provenant de différents champs de compétences,
classait la Gaspésie au 3e rang des destinations au monde avec un score de 80 % ! Notre magnifique
région se classe fièrement après la région des fjords en Norvège (85 %) et les parcs nationaux
Kootenay/Yoho en Colombie-Britannique (81 %).
Cette évaluation a eu lieu sur 6 critères se rapportant au tourisme durable tel que : la qualité
environnementale et écologique, l’intégrité sociale et culturelle, la qualité de la gestion du tourisme, l’état
des bâtiments et des sites archéologiques, l’esthétisme et le potentiel futur de la destination.
Voici quelques explications concernant cette classification exceptionnelle:
Jutting into the Gulf of St. Lawrence, the colorful Gaspé Peninsula offers « oceanfront, islands, and inland
mountains » within « excellent parks and reserves, » along with « authentic Francophone » villages. A big
part of the area’s appeal is « tourism development largely on a human scale. »
« Essentially a driving destination, with many natural sites and small villages on the circuit. Many of the most
spectacular natural systems are protected in provincial and national parks. Tourism is seasonal, which has
reduced the pressure to provide extensive tourism infrastructure. Much therefore remains authentic,
particularly in the smaller villages. »
http://traveler.nationalgeographic.com/2009/11/destinationsrated/
north-amer
Rappelons que dans son numéro d’octobre 2009, le National Geographic classait la Gaspésie comme l’une
des 50 destinations incontournables du globe à visiter. Également le réputé atlas routier Michelin octroyait le
maximum d’étoiles, soit trois, au parcours de la Gaspésie, le seul choisi au Québec dans sa sélection des
25 parcours pittoresques d’Amérique du Nord.
Selon Alexander Reford, président de Tourisme Gaspésie : « Cette reconnaissance par un comité de 437
experts du monde entier est une reconnaissance exceptionnelle de la qualité de la Gaspésie comme
destination mondiale. Elle surprend et séduit par sa différence et sa diversité. Habitée par de nombreuses
ethnies, il s’est créé un heureux amalgame de traditions, de cultures, de délices culinaires et d’accents
colorés. L’équipe de l’ATR Gaspésie va bâtir sur cette reconnaissance afin d’augmenter la clientèle
internationale avec ses efforts de promotion et son appui aux entreprises touristiques qui attirent cette
clientèle.»
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Source : Christine St-Pierre
(418) 775-2223 poste 228