lundi 30 novembre 2009

Homard d'hiver La pêche commence dans l'optimisme

Mise à jour le lundi 30 novembre 2009 à 16 h 45


Pêche au homard

Pêcheurs de homard.

La nouvelle saison de pêche au homard au large de la côte sud et sud-ouest de la Nouvelle-Écosse a commencé lundi sans trop de difficultés.

Des 1700 bateaux qui ont pris le large avant l'aube, seulement deux ont connu des ennuis mécaniques jusqu'à présent.

Près de 5000 pêcheurs jettent 500 000 casiers à l'eau lundi. Ils s'attendent à ce que le prix qu'on leur offrira pour leurs prises soit assez élevé pour couvrir leurs dépenses et gagner un peu de profits.

Selon les premières indications, les prix se situeraient vers 4 $ la livre, soit 50 ¢ de plus que l'an dernier.

« On [nous a] dit vendredi qu'on n'aurait probablement rien sous 4 $. Ça fait que ce n'est pas gros, mais on est vraiment contents de ça: 4 $, c'est mieux que 3,25 $. Ça fait du bon sens. On est vraiment encouragé un petit peu plus que l'an dernier », explique le représentant de l'Union des pêcheurs des Maritimes, Hubert Saulnier.

L'an dernier, certains pêcheurs, exaspérés par les prix très bas offerts par les grossistes, s'étaient résolus à vendre leurs prises eux-mêmes directement aux consommateurs. Ils estimaient qu'ils avaient besoin de 5 $ la livre pour gagner leur vie.

Les dépenses des pêcheurs, notamment le carburant et les appâts, augmentent sans cesse pendant que le prix qu'on leur offre diminue. La majorité du homard pêché en Nouvelle-Écosse est exportée aux États-Unis. La demande pour ce produit dans ce pays a diminué depuis l'an dernier en raison de la récession. Le prix du homard a donc baissé.

La pêche au homard en Nouvelle-Écosse représente normalement des retombées économiques annuelles de 400 millions de dollars et 10 000 emplois. Les premières prises seront débarquées mardi ou mercredi.

vendredi 20 novembre 2009

Les ados (ne) sont (pas) sur Twitter (ni) Facebook, (ni) MySpace

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Agriculture biologique
Quand la mer nourrit les légumes

Mise à jour le lundi 16 novembre 2009 à 11 h 57
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Des producteurs maraîchers et des agriculteurs biologiques de la Gaspésie étudient la possibilité de se tourner vers l'utilisation de produits marins.
legumes-fruits

Ces producteurs cherchent une solution pour pallier le faible de nombre de fermes d'élevage d'animaux dans la région.

Se tourner vers la mer pourrait s'avérer une solution pratique et efficace, selon le président de l'Association des producteurs biologiques de la Gaspésie, Christian Côté. « Il y a des produits qui sont disponibles de plus en plus sur les marchés, mais ces produits coûtent cher. [...] On essaye de trouver des choses qui sont disponibles localement en Gaspésie », précise M. Côté. Les résidus de poisson et de crustacés fournissent de l'azote et du phosphore et peuvent carrément doubler le rendement des cultures.

Des projets de productions avec des résidus marins sont en cours au Bas-Saint-Laurent. Le président de la firme de consultants Terre-eau à Mont-Joli, Louis Drainville, explique que ces projets visent principalement la production de grains non traditionnels certifiés biologiques comme le lin, le chanvre, du sarrasin, de l'épeautre. « L'objectif est aussi d'avoir un centre de transformation des grains certifiés bios en Gaspésie », ajoute M. Drainville.

L'utilisation des résidus marins comme fertilisants n'est pas sans causer quelques inconvénients, notamment en ce qui a trait à l'odeur. Louis Drainville reconnaît que les producteurs devront travailler avec la population.

Quelque 45 000 tonnes de poissons et crustacé sont transformées dans les usines de l'Est du Québec qui rejettent annuellement 20 000 tonnes de résidus.

Les producteurs épandent aussi dans leurs champs des cendres de bois industrielles. L'an dernier, la moitié des 300 000 tonnes des cendres de bois industrielles produites au Québec ont été utilisées comme par les agriculteurs.

jeudi 12 novembre 2009

Présentation du concept de blogue

12 novembre 2009

Bonjour a tous les amateurs de fruits de mers de partout dans le monde, c'est avec un grand plaisir que j'entreprends aujourd'hui mon premier blogue sur le net, sachez que je suis un restaurateur passionné depuis plus de 20 ans dont les 10 dernières années a la barre du restaurant Capitaine Homard de Sainte-Flavie, cette année était le 41è anniversaire du restaurant qui est situé aux portes d'entrée de la Gaspésie au Québec.J'espère pouvoir vous rendre la lecture agréable et soyez assuré de tout mon dévouement envers ce blogue. Nous traiterons principalement de la vie du homard dans son ensemble en long et en large ainsi que de recettes,photos vidéos,trucs et astuces.Merci et a la prochaine, En passant voici un document que je vient tout juste de recevoir et que je veut absolument partager avec vous car j'en suis très fière.

Merveilleuse Gaspésie, 3e destination au monde !
Sainte-Flavie, le 9 novembre 2009 – Dans son édition de novembre – décembre, la Société National
Geographic nous apprenait qu’un comité de 437 experts provenant de différents champs de compétences,
classait la Gaspésie au 3e rang des destinations au monde avec un score de 80 % ! Notre magnifique
région se classe fièrement après la région des fjords en Norvège (85 %) et les parcs nationaux
Kootenay/Yoho en Colombie-Britannique (81 %).
Cette évaluation a eu lieu sur 6 critères se rapportant au tourisme durable tel que : la qualité
environnementale et écologique, l’intégrité sociale et culturelle, la qualité de la gestion du tourisme, l’état
des bâtiments et des sites archéologiques, l’esthétisme et le potentiel futur de la destination.
Voici quelques explications concernant cette classification exceptionnelle:
Jutting into the Gulf of St. Lawrence, the colorful Gaspé Peninsula offers « oceanfront, islands, and inland
mountains » within « excellent parks and reserves, » along with « authentic Francophone » villages. A big
part of the area’s appeal is « tourism development largely on a human scale. »
« Essentially a driving destination, with many natural sites and small villages on the circuit. Many of the most
spectacular natural systems are protected in provincial and national parks. Tourism is seasonal, which has
reduced the pressure to provide extensive tourism infrastructure. Much therefore remains authentic,
particularly in the smaller villages. »
http://traveler.nationalgeographic.com/2009/11/destinationsrated/
north-amer
Rappelons que dans son numéro d’octobre 2009, le National Geographic classait la Gaspésie comme l’une
des 50 destinations incontournables du globe à visiter. Également le réputé atlas routier Michelin octroyait le
maximum d’étoiles, soit trois, au parcours de la Gaspésie, le seul choisi au Québec dans sa sélection des
25 parcours pittoresques d’Amérique du Nord.
Selon Alexander Reford, président de Tourisme Gaspésie : « Cette reconnaissance par un comité de 437
experts du monde entier est une reconnaissance exceptionnelle de la qualité de la Gaspésie comme
destination mondiale. Elle surprend et séduit par sa différence et sa diversité. Habitée par de nombreuses
ethnies, il s’est créé un heureux amalgame de traditions, de cultures, de délices culinaires et d’accents
colorés. L’équipe de l’ATR Gaspésie va bâtir sur cette reconnaissance afin d’augmenter la clientèle
internationale avec ses efforts de promotion et son appui aux entreprises touristiques qui attirent cette
clientèle.»
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Source : Christine St-Pierre
(418) 775-2223 poste 228